4 janvier 2013
poème de François Villon : "Ballade des pendus" ou l'épitaphe de Villon en forme de ballade
Frères humains, qui après nous vivez,
N'ayez les coeurs contre nous endurcis,
Car, si pitié de nous pauvres avez,
Dieu en aura plus tôt de vous mercis ...
Les deux dernières vignettes sont inspirées de "l'arbre aux pendus" de Jacques Callot
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